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L’antisémitisme est une force régénératrice (1897)

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L’antisémitisme est une force régénératrice (1897) Empty L’antisémitisme est une force régénératrice (1897)

Mesaj Scris de Admin Joi Feb 05, 2015 11:39 am

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L’Antisémitisme a eu le sort de toutes les grandes choses, et de toutes les doctrines élevées. Il a rencontré sur son chemin des calomnies ridicules et des paradoxes ineptes. On a voulu le caricaturer comme une excentricité, une passion basse, une dépravation du sens moral. Les Juifs ont représenté les Antisémites tantôt comme des envieux, tantôt comme des fous ou des imbéciles.

Du reste, les Israélites sont imbus de cette idée qu’eux seuls ont le droit de se juger et qu’ils échappent au jugement des autres hommes. Comment l’Antisémitisme ne serait-il pas, à leurs yeux, un crime et un blasphème ?

Quoi qu’il en soit, l’Antisémitisme n’a plus besoin de réfuter ces absurdités trop palpables. Il a pris possession de l’opinion, mais le rang qu’il y occupe est loin de celui qu’il occupera, lorsqu’on comprendra qu’il est au plus haut degré, par essence, une force régénératrice, un puissant et irrésistible essor de l’Idée nationale.

L’Antisémitisme, c’est la France qui ressaisit sa personnalité historique, son génie aryen et sa tradition chrétienne.

C’est l’or, insolent et faux, qui descend de son trône.

C’est la corruption politique et judiciaire pourchassée et impitoyablement punie.

C’est le Gouvernement des hommes d’État, que l’intrigue et la police juives ont systématiquement écartés des affaires publiques, succédant au Gouvernement de leurs suppôts.

C’est la renaissance, dans la politique européenne et orientale, de l’initiative française, hardie et intrépide.

C’est l’esprit français purifié de l’esprit juif qui lui a communiqué sa laideur méchante et sa fange prétentieuse ; c’est l’âme française délivrée d’un contact impur qui la matérialise et la déprave.

C’est l’unité nationale plus forte, plus vivante, plus active qu’elle ne l’a jamais été. L’Antisémitisme relie les uns aux autres les hommes de toutes les classes et de toutes les professions. Ce sera pour la France un creuset où tous ses éléments, aujourd’hui plus ou moins désassociés, iront se fondre en un seul et même métal. Il solidarise, en effet, toutes les classes les unes avec les autres par la communauté du danger et la fraternité de la lutte. Le présenter comme une semence de division et comme devant partager la France en deux camps est la plus absurde des erreurs et la plus inconcevable des sottises.

La France se divisant pour Messieurs les Juifs ! Sont-ils donc des demi-dieux, des êtres quasi surnaturels ? Ou bien la France aurait-elle le culte des escrocs, des traîtres ? Aurait-elle pour l’insolence des grands Juifs une admiration de dégénérée ? Sa grande âme serait-elle devenue une âme de laquais ?

Et si l’on considère les diverses professions, avec la spécialité de leurs études et de leur développement intellectuel, avec l’expérience particulière qu’elles fournissent des choses de la vie publique et privée, l’Antisémitisme apparaît comme un centre où les plus hautes préoccupations de tous les hommes viennent converger.

Le prêtre, dépositaire de l’Idée chrétienne, la défend péniblement contre le dissolvant juif qui la refoule dans les pratiques dévotieuses en lui enlevant la direction sociale. Allez à Lourdes tant que vous voudrez, mais subissez le divorce : telle est la loi que lui fait le Sémitisme. Or, le divorce, le frère et le précurseur de la polygamie, est la négation de la plus belle des conceptions chrétiennes : l’égalité de la femme et de l’homme et leur union dans un amour vivifié par des pensées célestes. Que le clergé catholique, si riche de vertus et de courage et auquel il ne manque que d’être plus fortement dirigé, ne l’oublie pas ! C’est le jour seulement où la puissance juive sera abattue que le divorce, cette rétrogradation vers l’animalité, disparaîtra de nos institutions.

De son côté l’homme de loi, magistrat ou avocat, qui a dû approfondir les affaires juives, ces affaires tortueuses où la filouterie déborde, éplucher ces dossiers où sous chaque pièce, chaque liste d’actionnaires, chaque procès-verbal d’assemblées sociales, chaque lettre, chaque billet, on découvre une fraude, un piège, un faux-fuyant, où le mensonge a, pour ainsi dire, la végétation touffue d’une forêt vierge, comment se désintéresserait-il de la question juive ? Celui-là connaît la capacité dévastatrice des Juifs et leurs infernales tactiques ; il sait les ruines, les désespoirs, les suicides, les existences déchues, les familles éteintes, les destinées errantes.

Le magistrat intègre — et ils sont nombreux en France — a senti la corruption le tâter ; quelques mots étranges ont été jetés dans son oreille ; peut-être un collègue, endetté ou dépensier, les a-t-il écoutés…

Le médecin aliéniste aussi apporte à l’Antisémitisme un précieux contingent d’observations. Le Judaïsme, qui est par lui-même une sorte de névrose, propage autour de lui les maladies nerveuses. Et non seulement, il est un facteur de déséquilibration mentale ; mais, comme il règne sur la France, il nelui permet pas de se débarrasser du poison alcoolique dont lui-même ne souffre pas.

Les éminents aliénistes (les docteurs Magnan, Garnier, etc.), qui ont fait sur les ravages de l’alcoolisme des études si complètes, se demandent avec étonnement pourquoi les pouvoirs publics ne prennent pas sans retard les mesures nécessaires pour arrêter le mal grandissant. Qu’ils se rassurent ! Lorsque la France aura brisé la domination juive, en quelques semaines leurs propositions seront mises à l’étude et les lois contre l’alcoolisme votées. Je le leur prédis hardiment.

Quant à l’agriculteur que les impôts écrasent, que l’hypothèque ronge, que l’agiotage sur les blés ruine, sur qui, plus que tout autre, retombe le fardeau de cette dette publique insensée, oeuvre de l’astuce juive, que la France a contractée, s’il n’entrait pas à pleines voiles dans le mouvement antisémitique, c’est qu’il serait un paralytique ou un hébété .

De même, le militaire qui s’attend d’un jour à l’autre à de formidables luttes, sait que le Juif n’est pas seulement l’usurier aux doigts crochus, mais aussi l’espion et le traître. Tous les Juifs sans doute ne sont pas des traîtres, mais même en ne considérant la trahison dans le Judaïsme que comme un fait exceptionnel, il faut reconnaître qu’il a, pour produire cette exception, une aptitude inquiétante.

Et l’homme politique qui a médité sur la décadence intérieure et extérieure de la France ;

L’économiste qui a étudié les grands accaparements et le mécanisme si complexe de l’exploitation juive ;

Le sociologue qui cherche les remèdes au mal social, à cette tendance générale soit au désordre, soit à une mollesse pire que le désordre, qui est la caractéristique de la France contemporaine ;

Eux aussi ont une foule d’idées, de vues à échanger. Les regards tournés vers l’édifice altier de la puissance juive, ils savent que la France ne retrouvera son orientation que le jour où cet édifice aura couvert le sol de ses ruines, et où alors elle redeviendra elle-même, ayant sa politique, son organisation économique et sa vie morale propres, sans rien emprunter au Judaïsme, son tyran et son corrupteur.

Daniel Kimon – La guerre antijuive (1897) – Téléchargez le pdf

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